Florence Cassez pourrait être libérée mercredi prochaine
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Florence Cassez pourrait être libérée mercredi prochaine
«Le projet de décision est très favorable», nous a confié une source diplomatique mexicaine. Selon nos informations, le cas de Florence Cassez, emprisonnée à Mexico depuis 2005, pourrait être tranché dès la semaine prochaine.
Condamné à soixante ans de prison en appel pour une série d’enlèvements qu’elle a toujours niés, la Française avait déposé un ultime recours devant la Cour suprême du Mexique en février 2011. C’est ce recours qui serait en passe d’aboutir.
Un vice de procédure
Le juge rapporteur chargé d’examiner le cas de la Française aurait en effet rédigé ses conclusions. Selon la procédure en vigueur au Mexique, il doit désormais la présenter aux autres juges qui composent la Cour Suprême. «Si tout le monde est d’accord lors de la présentation, la décision est immédiate, explique une source proche du dossier. Sinon, le dossier est mis de nouveau en débat. Cela peut prendre une semaine ou deux. Mais guère plus.»
Équivalent de la Cour de cassation française, la Cour suprême du Mexique se prononce uniquement sur la forme. Et d’après le quotidien mexicain El universal, c’est un vice de procédure qui pourrait voler au secours de la Française. «Les agents de police qui ont arrêté Florence Cassez n’ont pas prévenu immédiatement le consulat français, assure le quotidien. C’est sur ce point que le juge Arturo Zaldivar Lelo de Larrea devrait demander la libération immédiate de la Française.» Il y a un an tout juste, le cas de la Française avait empoisonné les relations entre la France et le Mexique, allant même jusqu’à l’annulation de l’Année du Mexique en France. Mercredi soir, ni l’avocat, ni le père de Florence Cassez n’étaient joignables.
Condamné à soixante ans de prison en appel pour une série d’enlèvements qu’elle a toujours niés, la Française avait déposé un ultime recours devant la Cour suprême du Mexique en février 2011. C’est ce recours qui serait en passe d’aboutir.
Un vice de procédure
Le juge rapporteur chargé d’examiner le cas de la Française aurait en effet rédigé ses conclusions. Selon la procédure en vigueur au Mexique, il doit désormais la présenter aux autres juges qui composent la Cour Suprême. «Si tout le monde est d’accord lors de la présentation, la décision est immédiate, explique une source proche du dossier. Sinon, le dossier est mis de nouveau en débat. Cela peut prendre une semaine ou deux. Mais guère plus.»
Équivalent de la Cour de cassation française, la Cour suprême du Mexique se prononce uniquement sur la forme. Et d’après le quotidien mexicain El universal, c’est un vice de procédure qui pourrait voler au secours de la Française. «Les agents de police qui ont arrêté Florence Cassez n’ont pas prévenu immédiatement le consulat français, assure le quotidien. C’est sur ce point que le juge Arturo Zaldivar Lelo de Larrea devrait demander la libération immédiate de la Française.» Il y a un an tout juste, le cas de la Française avait empoisonné les relations entre la France et le Mexique, allant même jusqu’à l’annulation de l’Année du Mexique en France. Mercredi soir, ni l’avocat, ni le père de Florence Cassez n’étaient joignables.
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