Tarbes : soupçonné d'avoir étranglé son bébé, il s'échappe et se pend
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Tarbes : soupçonné d'avoir étranglé son bébé, il s'échappe et se pend
Un homme de 46 ans, soupçonné d'avoir étranglé son fils de 5 mois et demi dans un hôtel de Tarbes (Hautes-Pyrénées), a été retrouvé pendu mardi midi, d'après les informations recueillies par Europe 1 confirmées ensuite par le parquet.
Interpellé dimanche, vers 21 heures, le quadragénaire avait été admis à l'hôpital, en raison de son état physique et psychologique. Dans la nuit de lundi à mardi, l'homme a réussi à défaire ses liens, et à s'échapper par la fenêtre de l'hôpital. Son corps a donc été retrouvé quelques heures plus tard, à proximité de l'hôpital, pendu à un arbre.
Dans une lettre, le père reconnaissait avoir tué son bébé
Cette macabre histoire commence dimanche vers 11 heures lorsque les forces de l'ordre reçoivent un appel et se déplacent dans une chambre de l’hôtel Campanile, situé dans la zone industrielle Bastillac. Sur place, une femme de ménage leur désigne le corps sans vie d’un enfant de 4 mois. Les policiers découvrent sur le corps des traces de strangulation, ainsi que d’importantes traînées de sang dans la chambre, ne provenant pas du cadavre.
Une lettre a été découverte, dans laquelle le père indique avoir mis fin aux jours de son fils de 5 mois en raison d’un contexte familial difficile. La mère et son bébé faisaient l'objet d'une mesure de protection et vivaient à ce titre dans une maison maternelle accueillant les familles monoparentales. Muni d'une autorisation d'un juge compétent, le père serait venu chercher l'enfant vendredi en fin d'après-midi, explique quotidien la Dépêche du Midi.
Interpellé dimanche, vers 21 heures, le quadragénaire avait été admis à l'hôpital, en raison de son état physique et psychologique. Dans la nuit de lundi à mardi, l'homme a réussi à défaire ses liens, et à s'échapper par la fenêtre de l'hôpital. Son corps a donc été retrouvé quelques heures plus tard, à proximité de l'hôpital, pendu à un arbre.
Dans une lettre, le père reconnaissait avoir tué son bébé
Cette macabre histoire commence dimanche vers 11 heures lorsque les forces de l'ordre reçoivent un appel et se déplacent dans une chambre de l’hôtel Campanile, situé dans la zone industrielle Bastillac. Sur place, une femme de ménage leur désigne le corps sans vie d’un enfant de 4 mois. Les policiers découvrent sur le corps des traces de strangulation, ainsi que d’importantes traînées de sang dans la chambre, ne provenant pas du cadavre.
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