La presse britannique évoque la «guerre des roses» de Trierweiler et Royal
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La presse britannique évoque la «guerre des roses» de Trierweiler et Royal
La presse britannique a fait ses choux gras mercredi du tweet de la Première dame française Valérie Trierweiler, qui a déclenché selon le Daily Telegraph une «guerre des roses» entre l’actuelle et l’ex-compagne du président François Hollande.
La compagne de François Hollande a «provoqué la première crise de sa présidence», juge le Times. Un petit encart montre Hollande, mains tendues devant lui dans un geste d’apaisement, avec pour légende - en français - : «Mais, mesdames, je suis le Président».
Le correspondant du quotidien à Paris constate que «l’amour règne en maître en France» et attribue le fameux tweet de soutien de Valérie Trierweiler à l’adversaire de Ségolène Royal pour les législatives à La Rochelle à «la jalousie», citant le proverbe «la jalousie n’est pas un défaut, c’est une preuve d’amour».
Et de rappeler que la première dame française a déjà montré sa nature «romantique» en exigeant un baiser de François Hollande le jour de la victoire à la Présidentielle, et en dansant avec lui sur l’air de La vie en rose...
Cette «saga amoureuse compromet l’image du "président normal"», estime pour sa part The Guardian. «Hollande a soigneusement projeté l’image d’un président "normal" et les pieds sur terre, mais l’animosité entre son actuelle et son ex-petite amie tourne au "soap opera" entre célébrités évoquant les pires excès de la vie amoureuse très publique de Nicolas Sarkozy», remarque le journal.
The Guardian observe que la saga «semble conforter tous les stéréotypes et critiques que Valérie Trierweiler a tenté d'éviter, à savoir l’ingérence dans la sphère politique».
«L’incident est la première gaffe sérieuse après un mois sans faute aux affaires de M. Hollande», estime The Independent.
«Les manières indépendantes et parfois péremptoires de Mme Trierweiler sont une préoccupation de longue date pour les amis et conseillers de M. Hollande», ajoute le quotidien, qui rappelle que ce n’est pas la première fois qu’elle appuie «trop vite sur la touche twitter», puisque Valérie Trierweiler elle-même avait reconnu dans une interview en avril que «François (Hollande) me fait totalement confiance, sauf pour mes tweets !»
La compagne de François Hollande a «provoqué la première crise de sa présidence», juge le Times. Un petit encart montre Hollande, mains tendues devant lui dans un geste d’apaisement, avec pour légende - en français - : «Mais, mesdames, je suis le Président».
Le correspondant du quotidien à Paris constate que «l’amour règne en maître en France» et attribue le fameux tweet de soutien de Valérie Trierweiler à l’adversaire de Ségolène Royal pour les législatives à La Rochelle à «la jalousie», citant le proverbe «la jalousie n’est pas un défaut, c’est une preuve d’amour».
Et de rappeler que la première dame française a déjà montré sa nature «romantique» en exigeant un baiser de François Hollande le jour de la victoire à la Présidentielle, et en dansant avec lui sur l’air de La vie en rose...
Cette «saga amoureuse compromet l’image du "président normal"», estime pour sa part The Guardian. «Hollande a soigneusement projeté l’image d’un président "normal" et les pieds sur terre, mais l’animosité entre son actuelle et son ex-petite amie tourne au "soap opera" entre célébrités évoquant les pires excès de la vie amoureuse très publique de Nicolas Sarkozy», remarque le journal.
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