L’apprentissage séduit les jeunes et leurs parents
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L’apprentissage séduit les jeunes et leurs parents
Les choses bougent. Autrefois vu comme une filière par défaut, l’apprentissage est aujourd’hui perçu comme un atout pour s’insérer dans le monde du travail. Il jouit d’une image très positive auprès des jeunes, selon un sondage IFOP pour RMC, partenaire de la semaine de l’apprentissage jusqu’au 15 juin. Les 15-25 ans, mais aussi leurs parents, partagent l’image d’un cursus permettant d’être rapidement opérationnel
dans l’optique d’une embauche, selon ce sondage réalisé conjointement
avec les Chambres de Commerce et d’industrie (CCI) et dont nous vous
dévoilons ce mardi les enseignements. Autre avantage de l’apprentissage,
il offre une certaine autonomie financière tout en poursuivant des études (pour 87% des 15-25 ans et 85% des parents).
55% des jeunes intéressés par l’apprentissage
Sur
un marché de l’emploi toujours plus tendu, plus de huit jeunes sur dix
accordent autant voire plus de valeur à cette formation – perçue
spontanément comme une ouverture vers l’expérience et le concret – qu’au
parcours d’un diplôme général. Au final, une courte majorité des jeunes
(55%) se disent intéressés par une telle formation, avec un élan un peu
plus fort de la part des plus âgés (23-25 ans). Auprès des parents, si
ce type de formation est unanimement accepté, seuls environ un tiers
d’entre eux encourageraient spontanément leurs enfants à suivre une
telle voie.
Persistance des préjugés
Il
faut dire que les préjugés ont la vie dure. Bien que 82% des jeunes
passés par l’apprentissage ne connaissent aucune période de chômage
durant les premières années de leur vie professionnelle, l’idée que le recours à ce cursus professionnalisant est réservé aux jeunes en échec scolaire persiste (pour 27% des jeunes et 34% des parents), notamment en région parisienne.
dans l’optique d’une embauche, selon ce sondage réalisé conjointement
avec les Chambres de Commerce et d’industrie (CCI) et dont nous vous
dévoilons ce mardi les enseignements. Autre avantage de l’apprentissage,
il offre une certaine autonomie financière tout en poursuivant des études (pour 87% des 15-25 ans et 85% des parents).
55% des jeunes intéressés par l’apprentissage
Sur
un marché de l’emploi toujours plus tendu, plus de huit jeunes sur dix
accordent autant voire plus de valeur à cette formation – perçue
spontanément comme une ouverture vers l’expérience et le concret – qu’au
parcours d’un diplôme général. Au final, une courte majorité des jeunes
(55%) se disent intéressés par une telle formation, avec un élan un peu
plus fort de la part des plus âgés (23-25 ans). Auprès des parents, si
ce type de formation est unanimement accepté, seuls environ un tiers
d’entre eux encourageraient spontanément leurs enfants à suivre une
telle voie.
Persistance des préjugés
Il
faut dire que les préjugés ont la vie dure. Bien que 82% des jeunes
passés par l’apprentissage ne connaissent aucune période de chômage
durant les premières années de leur vie professionnelle, l’idée que le recours à ce cursus professionnalisant est réservé aux jeunes en échec scolaire persiste (pour 27% des jeunes et 34% des parents), notamment en région parisienne.
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