La polémique de l'aluminium dans les vaccins relancée
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La polémique de l'aluminium dans les vaccins relancée
Santé L'Agence du médicament s'est déclarée jeudi favorable à une étude
Dix-neuvième jour sans manger. Domitille et Gwénola, deux mères de famille atteintes de myofasciite à macrophages, maladie imputée aux sels d'aluminium contenus dans les vaccins, poursuivent leur grève de la faim. Dans une yourte installée dans la cour de la mairie du 2e arrondissement de Paris, elles attendent « le réveil des autorités sanitaires ».
Depuis mercredi, trois nouveaux grévistes se sont installés devant le ministère de la Santé. Ils demandent le financement de la recherche et le retour du DTPolio sans aluminium dans les officines, dont la commercialisation a été suspendue en 2008.
« Nous voulons des réponses »
« C'est notre ultime recours. Nous avons épuisé tous les moyens habituels de la démocratie. Plus de 100 parlementaires sont intervenus d'une manière ou d'une autre. Et pourtant, rien ne se passe », déplore Didier Lambert, président de l'association de malades atteints de myofasciite à macrophages (E3M).
Pourtant, jeudi, l'Agence du médicament s'est déclarée favorable au lancement d'une étude sur ce sujet de santé publique majeur, à l'occasion de son conseil d'administration. Les modalités de cette étude restent à définir. L'équipe du Pr Gherardi, à Créteil (Val-de-Marne), a mis en évidence à la fin 2010 la migration de l'aluminium vaccinal vers le cerveau. Ce neurotoxique pourrait être responsable de troubles neurologiques, d'atteintes musculaires et articulaires et d'un épuisement chronique chez une partie de la population.
L'enjeu de cette recherche est de comprendre le mécanisme précis de cette substance, et d'identifier les personnes prédisposées, afin de leur contre-indiquer les vaccins contenant de l'aluminium. Si les instances sanitaires se sont longtemps montrées timorées, le Conseil d'Etat a reconnu à la fin novembre le lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages. Domitille, Gwénola et les trois autres grévistes de la faim, déterminés, attendent l'annonce officielle du financement de cette recherche par l'Agence du médicament. « Nous voulons des réponses pour nous, pour nos enfants. »
Dix-neuvième jour sans manger. Domitille et Gwénola, deux mères de famille atteintes de myofasciite à macrophages, maladie imputée aux sels d'aluminium contenus dans les vaccins, poursuivent leur grève de la faim. Dans une yourte installée dans la cour de la mairie du 2e arrondissement de Paris, elles attendent « le réveil des autorités sanitaires ».
Depuis mercredi, trois nouveaux grévistes se sont installés devant le ministère de la Santé. Ils demandent le financement de la recherche et le retour du DTPolio sans aluminium dans les officines, dont la commercialisation a été suspendue en 2008.
« Nous voulons des réponses »
« C'est notre ultime recours. Nous avons épuisé tous les moyens habituels de la démocratie. Plus de 100 parlementaires sont intervenus d'une manière ou d'une autre. Et pourtant, rien ne se passe », déplore Didier Lambert, président de l'association de malades atteints de myofasciite à macrophages (E3M).
Pourtant, jeudi, l'Agence du médicament s'est déclarée favorable au lancement d'une étude sur ce sujet de santé publique majeur, à l'occasion de son conseil d'administration. Les modalités de cette étude restent à définir. L'équipe du Pr Gherardi, à Créteil (Val-de-Marne), a mis en évidence à la fin 2010 la migration de l'aluminium vaccinal vers le cerveau. Ce neurotoxique pourrait être responsable de troubles neurologiques, d'atteintes musculaires et articulaires et d'un épuisement chronique chez une partie de la population.
L'enjeu de cette recherche est de comprendre le mécanisme précis de cette substance, et d'identifier les personnes prédisposées, afin de leur contre-indiquer les vaccins contenant de l'aluminium. Si les instances sanitaires se sont longtemps montrées timorées, le Conseil d'Etat a reconnu à la fin novembre le lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages. Domitille, Gwénola et les trois autres grévistes de la faim, déterminés, attendent l'annonce officielle du financement de cette recherche par l'Agence du médicament. « Nous voulons des réponses pour nous, pour nos enfants. »
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