Pour la première fois, Sarkozy promet la victoire à ses troupes
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Pour la première fois, Sarkozy promet la victoire à ses troupes
C'est la première fois qu'il envisage la victoire aussi ouvertement. En déplacement à Meaux, vendredi 16 mars, Nicolas Sarkozy en a profité pour motiver ses supporters, remobilisés depuis la parution cette semaine de sondages moins défavorables au président candidat.
"Oui, on va gagner !", a-t-il lancé en conclusion de son discours, dont le thème initial (la rénovation urbaine), a été relégué au second plan. "Dans ces deux mois qui restent, la victoire, le résultat, il ne dépend pas de moi, il dépendra de vous comme jamais dans l'histoire politique de notre pays", a-t-il dit à l'adresse du public massé dans un centre sportif de la ville et scandant "Nicolas, président !"
"Il y a dix jours, vous vous seriez moqués de moi"
Comme à son habitude depuis le début de la campagne, le président sortant a voulu s'adresser au "peuple de France", à la "majorité silencieuse" qui "refuse le diktat de la pensée unique, refuse les scénarios écrits à l'avance, refuse qu'on lui impose des idées dont il ne veut pas."
Ces propos de victoire illustrent le retour d'une confiance, du moins affichée, dans le camp de Nicolas Sarkozy. "S'il y a dix jours je l'avais dit, vous vous seriez moqués de moi. Là vous ne vous moquez pas", s'est-il vanté auprès des journalistes. Il y a dix jours, justement, il affirmait qu'en cas de défaite, il arrêterait la politique.
Les sondages, s'ils mesurent une légère remontée du président candidat, qui fait jeu égal avec François Hollande au premier tour, lui restent très défavorables dans la perspective du second tour.
"Oui, on va gagner !", a-t-il lancé en conclusion de son discours, dont le thème initial (la rénovation urbaine), a été relégué au second plan. "Dans ces deux mois qui restent, la victoire, le résultat, il ne dépend pas de moi, il dépendra de vous comme jamais dans l'histoire politique de notre pays", a-t-il dit à l'adresse du public massé dans un centre sportif de la ville et scandant "Nicolas, président !"
"Il y a dix jours, vous vous seriez moqués de moi"
Comme à son habitude depuis le début de la campagne, le président sortant a voulu s'adresser au "peuple de France", à la "majorité silencieuse" qui "refuse le diktat de la pensée unique, refuse les scénarios écrits à l'avance, refuse qu'on lui impose des idées dont il ne veut pas."
Ces propos de victoire illustrent le retour d'une confiance, du moins affichée, dans le camp de Nicolas Sarkozy. "S'il y a dix jours je l'avais dit, vous vous seriez moqués de moi. Là vous ne vous moquez pas", s'est-il vanté auprès des journalistes. Il y a dix jours, justement, il affirmait qu'en cas de défaite, il arrêterait la politique.
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