Législatives: Royal se défend de tout parachutage en Charente-maritime
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Législatives: Royal se défend de tout parachutage en Charente-maritime
Les électeurs de la circonscription "sont témoins de la très forte présence de Ségolène Royal sur le territoire", affirment Maxime Bono, député de La Rochelle et Delphine Batho, députée de Melle.
Ségolène Royal "n'est pas une parachutée". La présidente de la région Poitou-Charentes et candidate aux législatives à La Rochelle, affirme cela dans un communiqué publié mardi avec deux autres élus locaux socialistes.
Dans cette réponse à "un certain nombre d'articles et de déclarations", Ségolène Royal, Maxime Bono, député de La Rochelle auquel elle compte succéder, et Delphine Batho, députée de Melle (Deux-Sèvres), "s'inscrivent en faux contre l'accusation selon laquelle Ségolène Royal serait une "parachutée".
Ils soulignent que La Rochelle est dans "la région Poitou-Charentes que Ségolène Royal préside depuis huit années, où chacun la considère comme légitime". Selon eux, c'est pour "conforter la qualité des actions engagées sur cette circonscription, très souvent d'ailleurs en partenariat avec la Région (...) que Maxime Bono, seul député de gauche de Poitou-Charentes à ne pas solliciter un nouveau mandat, a proposé à Ségolène Royal de s'y investir encore davantage".
Très forte présence de Ségolène Royal
Ils affirment que les 100 000 électeurs de la circonscription "sont témoins de la très forte présence de Ségolène Royal sur le territoire et des réalisations" diverses du conseil régional. "Les quelques voix hostiles qui la traitent aujourd'hui de 'parachutée' se sont bien gardées de le faire lorsqu'elle a déplacé les services de la Région pour s'occuper nuit et jour des sinistrés de la terrible tempête Xynthia qui a frappé dramatiquement la côte rochelaise" en février 2010, disent-ils.
La candidature de Ségolène Royal dans la 1ère circonscription de Charente-maritime est notamment contestée par Olivier Falorni, premier secrétaire fédéral du PS du département. Appelant à un "retour à la sérénité du débat", ils déclarent que si Mme Royal ne s'est pas représentée à Melle, c'est qu'elle a estimé avec M. Bono que Mme Batho, "qui a bien fait son travail, méritait de poursuivre son mandat".
Celle-ci est par ailleurs porte-parole de campagne de François Hollande. Selon un sondage Ifop publié le 6 décembre, 62% des électeurs de la circonscription n'approuvent pas la désignation de Ségolène Royal qui l'emporterait toutefois au second tour avec 58% des voix face à la candidate UMP, après avoir dépassé au premier tour Olivier Falorni (23% contre 18%).
Ségolène Royal "n'est pas une parachutée". La présidente de la région Poitou-Charentes et candidate aux législatives à La Rochelle, affirme cela dans un communiqué publié mardi avec deux autres élus locaux socialistes.
Dans cette réponse à "un certain nombre d'articles et de déclarations", Ségolène Royal, Maxime Bono, député de La Rochelle auquel elle compte succéder, et Delphine Batho, députée de Melle (Deux-Sèvres), "s'inscrivent en faux contre l'accusation selon laquelle Ségolène Royal serait une "parachutée".
Ils soulignent que La Rochelle est dans "la région Poitou-Charentes que Ségolène Royal préside depuis huit années, où chacun la considère comme légitime". Selon eux, c'est pour "conforter la qualité des actions engagées sur cette circonscription, très souvent d'ailleurs en partenariat avec la Région (...) que Maxime Bono, seul député de gauche de Poitou-Charentes à ne pas solliciter un nouveau mandat, a proposé à Ségolène Royal de s'y investir encore davantage".
Très forte présence de Ségolène Royal
Ils affirment que les 100 000 électeurs de la circonscription "sont témoins de la très forte présence de Ségolène Royal sur le territoire et des réalisations" diverses du conseil régional. "Les quelques voix hostiles qui la traitent aujourd'hui de 'parachutée' se sont bien gardées de le faire lorsqu'elle a déplacé les services de la Région pour s'occuper nuit et jour des sinistrés de la terrible tempête Xynthia qui a frappé dramatiquement la côte rochelaise" en février 2010, disent-ils.
La candidature de Ségolène Royal dans la 1ère circonscription de Charente-maritime est notamment contestée par Olivier Falorni, premier secrétaire fédéral du PS du département. Appelant à un "retour à la sérénité du débat", ils déclarent que si Mme Royal ne s'est pas représentée à Melle, c'est qu'elle a estimé avec M. Bono que Mme Batho, "qui a bien fait son travail, méritait de poursuivre son mandat".
Celle-ci est par ailleurs porte-parole de campagne de François Hollande. Selon un sondage Ifop publié le 6 décembre, 62% des électeurs de la circonscription n'approuvent pas la désignation de Ségolène Royal qui l'emporterait toutefois au second tour avec 58% des voix face à la candidate UMP, après avoir dépassé au premier tour Olivier Falorni (23% contre 18%).
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