Najat Vallaud-Belkacem nouvelle ministre de l'éducation nationale
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Najat Vallaud-Belkacem nouvelle ministre de l'éducation nationale
26.08.2014
Les remaniements sont synonymes de promotion pour Najat Vallaud-Belkacem depuis le début de ce quinquennat. A 36 ans, elle prend la tête du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche dans la nouvelle équipe de Manuel Valls, en remplacement de Benoît Hamon.
Après avoir été successivement chargée du droit des femmes, elle avait été nommée dans un ministère élargi à la ville, à la jeunesse et aux sports. Une accumulation qui lui avait valu quelques critiques, notamment celle d'être à la tête d'un portefeuille « fourre-tout ». Cette fois c'est bien à un maroquin de premier ordre qu'accède Mme Vallaud-Belkacem, qui devient ainsi la numéro 4 dans l'ordre protocolaire du gouvernement.
Sa nomination consitue également une première, puisque jamais une femme n'avait exercé cette fonction auparavant. Un détail que n'a pas manqué de relever Benoît Hamon, son prédécesseur, qui a salué sur Twitter sa nomination, après avoir lui-même renoncé à participer au gouvernement Valls II.
LA « THÉORIE DU GENRE », CONTACT PROCHE AVEC L'ÉDUCATION
Najat Vallaud-Belkacem a commencé sa carrière politique à seulement 26 ans comme conseillère régionale en Rhône-Alpes. Elle a ensuite intégré l'équipe de Ségolène Royal dont elle est restée proche pendant plusieurs années, avant d'entrer au gouvernement comme porte-parole.
Au crédit de son action ministérielle, une loi égalité hommes-femmes, une proposition de loi de lutte contre la prostitution et feu les ABCD de l'égalité en coproduction avec Vincent Peillon, mais qu'elle avait fortement soutenue. Au point d'être perçue par les détracteurs de ce dispositif pédagogique (lobbies traditionnalistes, religieux), comme la promotrice d'une prétendue « théorie du genre ».
Lire aussi : L' « ABCD de l'égalité », au cœur de la polémique sur la « théorie du genre »
Sa nomination à l'éducation nationale a d'ailleurs provoqué de vives réactions dans l'opposition. Le député UMP de Haute Loire, Laurent Wauquiez, a qualifié la ministre « d'ultra pro-gender », tandis que l'élu de droite des Alpes-maritimes Eric Ciotti a affirmé que sa nomination était une « volonté de provoquer et de diviser ».
Les remaniements sont synonymes de promotion pour Najat Vallaud-Belkacem depuis le début de ce quinquennat. A 36 ans, elle prend la tête du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche dans la nouvelle équipe de Manuel Valls, en remplacement de Benoît Hamon.
Après avoir été successivement chargée du droit des femmes, elle avait été nommée dans un ministère élargi à la ville, à la jeunesse et aux sports. Une accumulation qui lui avait valu quelques critiques, notamment celle d'être à la tête d'un portefeuille « fourre-tout ». Cette fois c'est bien à un maroquin de premier ordre qu'accède Mme Vallaud-Belkacem, qui devient ainsi la numéro 4 dans l'ordre protocolaire du gouvernement.
Sa nomination consitue également une première, puisque jamais une femme n'avait exercé cette fonction auparavant. Un détail que n'a pas manqué de relever Benoît Hamon, son prédécesseur, qui a salué sur Twitter sa nomination, après avoir lui-même renoncé à participer au gouvernement Valls II.
LA « THÉORIE DU GENRE », CONTACT PROCHE AVEC L'ÉDUCATION
Najat Vallaud-Belkacem a commencé sa carrière politique à seulement 26 ans comme conseillère régionale en Rhône-Alpes. Elle a ensuite intégré l'équipe de Ségolène Royal dont elle est restée proche pendant plusieurs années, avant d'entrer au gouvernement comme porte-parole.
Au crédit de son action ministérielle, une loi égalité hommes-femmes, une proposition de loi de lutte contre la prostitution et feu les ABCD de l'égalité en coproduction avec Vincent Peillon, mais qu'elle avait fortement soutenue. Au point d'être perçue par les détracteurs de ce dispositif pédagogique (lobbies traditionnalistes, religieux), comme la promotrice d'une prétendue « théorie du genre ».
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Sa nomination à l'éducation nationale a d'ailleurs provoqué de vives réactions dans l'opposition. Le député UMP de Haute Loire, Laurent Wauquiez, a qualifié la ministre « d'ultra pro-gender », tandis que l'élu de droite des Alpes-maritimes Eric Ciotti a affirmé que sa nomination était une « volonté de provoquer et de diviser ».
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