"les gouvernants ont fait de la France la catin du Qatar "
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"les gouvernants ont fait de la France la catin du Qatar "
Elle l'avait déjà dit à Marseille, la semaine dernière, en clôturant l'université d'été du Front national. Ce dimanche, au micro du «Grand Rendez-vous» Europe 1-I-télé-«Le Monde», Marine Le Pen persiste et signe : «Les gouvernants français ont fait de notre pays effectivement la catin d'émirs bedonnants, la catin du Qatar, de l'Arabie saoudite.
Alors que les journalistes s'étonnaient que la présidente du FN qualifie son pays de «catin», celle-ci a maintenu : «C'est le gouvernement français qui fait de notre pays cela. Et c'est tout le sens de mon combat que de rendre à la France sa fierté, sa puissance, sa liberté, sa souveraineté...» «Pourquoi sommes-nous les alliés du Qatar et de l'Arabie Saoudite?», s'est-elle encore interrogée.
Déjà en 2012, alors candidate à la présidentielle, elle avait accusé «l'émir du Qatar» de «financer le fondamentalisme islamique dans toutes les régions du monde», de «financer toutes les milices jihadistes au travers du monde» et d'«investir en France» à cette fin.
Bachar al-Assad, solution «la moins pire» en Syrie
Interrogée ce dimanche sur l'attaque meurtrière menée samedi dans un centre commercial de Nairobi par un commando d'islamistes, Marine Le Pen a également «accus(é) de manière extrêmement claire le gouvernement d'aujourd'hui de François Hollande, et celui d'hier de Nicolas Sarkozy, d'être en Libye et en Syrie intervenu directement au soutien du fondamentalisme islamique terroriste».
«Le fondamentalisme islamique, et notamment Al-Qaida, est aidé de manière absolument directe par une certain nombre de capitales européennes, dont hélas la France, comme ça a été le cas hier en Libye (NDLR : sous Nicolas Sarkozy, l’intervention française avait entraîné la chute de Kadhafi) et comme c'est le cas directement par la fourniture d'une aide, de conseils et même d'armes en Syrie.» «Il s'agit, selon elle, d'une faute morale, politique, historique de la part de nos dirigeants.»
Interrogée sur le fait de savoir si c'était la «meilleure solution» que Bachar al-Assad reste au pouvoir en Syrie, elle a estimé que «c'est la moins pire», «entre des fondamentalismes islamiques et un pouvoir certes autoritaire, et vous pouvez d'ailleurs multiplier ce genre d'adjectifs, mais laïque qui était capable de préserver les minorités ethniques et les minorités religieuses...»
Ces déclarations interviennent alors que François Hollande prévoit de délivrer, à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU mardi à New York (Etats-Unis), un message de fermeté à l'égard de Damas, en plaidant pour une résolution «aussi contraignante que possible» à l'encontre du régime de Bachar al-Assad.
Alors que les journalistes s'étonnaient que la présidente du FN qualifie son pays de «catin», celle-ci a maintenu : «C'est le gouvernement français qui fait de notre pays cela. Et c'est tout le sens de mon combat que de rendre à la France sa fierté, sa puissance, sa liberté, sa souveraineté...» «Pourquoi sommes-nous les alliés du Qatar et de l'Arabie Saoudite?», s'est-elle encore interrogée.
Déjà en 2012, alors candidate à la présidentielle, elle avait accusé «l'émir du Qatar» de «financer le fondamentalisme islamique dans toutes les régions du monde», de «financer toutes les milices jihadistes au travers du monde» et d'«investir en France» à cette fin.
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«Le fondamentalisme islamique, et notamment Al-Qaida, est aidé de manière absolument directe par une certain nombre de capitales européennes, dont hélas la France, comme ça a été le cas hier en Libye (NDLR : sous Nicolas Sarkozy, l’intervention française avait entraîné la chute de Kadhafi) et comme c'est le cas directement par la fourniture d'une aide, de conseils et même d'armes en Syrie.» «Il s'agit, selon elle, d'une faute morale, politique, historique de la part de nos dirigeants.»
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