Deux ans avec sursis pour l’auteur des coups de feu de Carcassonne
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Deux ans avec sursis pour l’auteur des coups de feu de Carcassonne
Le procès des militaires, ouvert le 10 avril, a mis en lumière la mauvaise gestion des munitions au sein du régiment de marsouins parachutistes [b]
L’ex-sergent Nicolas Vizioz, qui avait blessé 16 personnes en utilisant par erreur des munitions de guerre lors d’une démonstration à Carcassonne, en 2008, a été condamné à vingt-quatre mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Montpellier. Ses supérieurs, l’ex-lieutenant Christophe Allard et l’ex-capitaine Hugues Bonningues ont, quant à eux, été condamnés à six mois de prison avec sursis. Les trois autres militaires qui figuraient sur le banc des accusés ont été relaxés.
Le procès, qui s’était ouvert le 10 avril, aura mis en lumière la mauvaise gestion des munitions au sein du régiment de marsouins parachutistes (3e RPIMa). Le 29 juin 2008, lors des journées portes ouvertes de la caserne, le sergent Nicolas Vizioz avait utilisé un chargeur de balles réelles lors d’une simulation de libération d’otages. Ces munitions, qui n’auraient jamais dû se trouver en sa possession, provenaient d’un « stock flottant » constitué pour court-circuiter l’administration de l’armée.
L’ex-sergent Nicolas Vizioz, qui avait blessé 16 personnes en utilisant par erreur des munitions de guerre lors d’une démonstration à Carcassonne, en 2008, a été condamné à vingt-quatre mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Montpellier. Ses supérieurs, l’ex-lieutenant Christophe Allard et l’ex-capitaine Hugues Bonningues ont, quant à eux, été condamnés à six mois de prison avec sursis. Les trois autres militaires qui figuraient sur le banc des accusés ont été relaxés.
Le procès, qui s’était ouvert le 10 avril, aura mis en lumière la mauvaise gestion des munitions au sein du régiment de marsouins parachutistes (3e RPIMa). Le 29 juin 2008, lors des journées portes ouvertes de la caserne, le sergent Nicolas Vizioz avait utilisé un chargeur de balles réelles lors d’une simulation de libération d’otages. Ces munitions, qui n’auraient jamais dû se trouver en sa possession, provenaient d’un « stock flottant » constitué pour court-circuiter l’administration de l’armée.
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