Le préfet de Corse menacé de mort
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Le préfet de Corse menacé de mort
Une enquête a été ouverte après la réception d'une lettre menaçante à l'encontre de Patrick Strzoda et qui pourrait être liée à l'affaire des paillotes. Sa sécurité a été renforcée.
Une enquête a été ouverte par le parquet d'Ajaccio après la réception d'une lettre menaçant de mort le préfet de Corse Patrick Strzoda dont la sécurité a été renforcée, a-t-on indiqué mercredi de source judiciaire. Cette lettre aurait été adressée à la préfecture le 17 janvier, a-t-on indiqué à la préfecture confirmant une information du quotidien Corse-Matin. Elle serait arrivée deux jours après la date limite fixée par la justice pour le démontage de cinq établissements de plage - appelés paillotes - des environs d'Ajaccio construits sur le domaine public maritime.
Les propriétaires de ces établissements avaient été mis en demeure par la justice de démonter leurs installations et de remettre la plage en état avant le 15 janvier. Après avoir refusé de le faire, certains d'entre eux avaient commencé à effectuer ces travaux.
Sécurité rapprochée
Patrick Strzoda a refusé de commenter cette lettre qui évoque l'assassinat du préfet de Corse Claude Érignac, le 6 février 1998 à Ajaccio.
Depuis, la sécurité rapprochée du plus haut représentant de l'État dans l'île, également préfet de Corse-du-Sud, de même que celle du préfet de Haute-Corse, à Bastia, est assurée par des policiers du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) du ministère de l'Intérieur.
Une enquête a été ouverte par le parquet d'Ajaccio après la réception d'une lettre menaçant de mort le préfet de Corse Patrick Strzoda dont la sécurité a été renforcée, a-t-on indiqué mercredi de source judiciaire. Cette lettre aurait été adressée à la préfecture le 17 janvier, a-t-on indiqué à la préfecture confirmant une information du quotidien Corse-Matin. Elle serait arrivée deux jours après la date limite fixée par la justice pour le démontage de cinq établissements de plage - appelés paillotes - des environs d'Ajaccio construits sur le domaine public maritime.
Les propriétaires de ces établissements avaient été mis en demeure par la justice de démonter leurs installations et de remettre la plage en état avant le 15 janvier. Après avoir refusé de le faire, certains d'entre eux avaient commencé à effectuer ces travaux.
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