La majorité des Allemands pensent qu'ils vivraient mieux sans l'euro Ils sont 51% à croire que la situation économique de leur pays serait meilleure s'il était hors de la zone euro.
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La majorité des Allemands pensent qu'ils vivraient mieux sans l'euro Ils sont 51% à croire que la situation économique de leur pays serait meilleure s'il était hors de la zone euro.
Selon le sondage Emnid pour l'hebdomadaire Bild am Sonntag, 51% des Allemands pensent que la situation économique de leur pays serait meilleure si il ne faisait pas partie des 17 pays de la zone euro. Seuls 29% pensent au contraire que la situation serait pire.
Parallèlement, les Allemands blâment en grande partie la Grèce pour ces problèmes : 71% des Allemands demandent que la Grèce sorte de la zone euro si elle ne tient pas ses promesses d'austérité.
Le ministre allemand de l'Economie Philipp Roesler a de son côté estimé dans un entretien au journal qu'il y avait « des doutes considérables sur le fait que la Grèce tienne ses promesses de réformes ». « La mise en oeuvre (des réformes, ndlr) est hésitante. Aucune administration fiscale fonctionnelle n'a encore été mise en place. En outre, il n'y a eu pratiquement aucune avancée dans la privatisation des biens publics promise, » a déclaré M. Roesler.
De son côté, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a rappelé la position de Berlin, qui demande l'exécution des réformes à la lettre.
Les bailleurs de fonds (UE, BCE, FMI) sont actuellement en Grèce pour évaluer les progrès du gouvernement dans la conduite de ces réformes. Leur rapport déterminera si la Grèce recevra la prochaine tranche de 31,5 milliards d'euros du programme d'aide nécessaire pour maintenir son économie à flot.
Parallèlement, les Allemands blâment en grande partie la Grèce pour ces problèmes : 71% des Allemands demandent que la Grèce sorte de la zone euro si elle ne tient pas ses promesses d'austérité.
Le ministre allemand de l'Economie Philipp Roesler a de son côté estimé dans un entretien au journal qu'il y avait « des doutes considérables sur le fait que la Grèce tienne ses promesses de réformes ». « La mise en oeuvre (des réformes, ndlr) est hésitante. Aucune administration fiscale fonctionnelle n'a encore été mise en place. En outre, il n'y a eu pratiquement aucune avancée dans la privatisation des biens publics promise, » a déclaré M. Roesler.
De son côté, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a rappelé la position de Berlin, qui demande l'exécution des réformes à la lettre.
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