ALGERIE. Le parti présidentiel remporte les législatives
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ALGERIE. Le parti présidentiel remporte les législatives
Le Front de Libération Nationale (FLN, parti présidentiel) a remporté vendredi 11 mai les élections législatives en Algérie, avec 220 des 462 sièges, et les islamistes ont subi un revers, en arrivant en 3ème position avec 66 sièges, a annoncé le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia.
Le Rassemblement national démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Ouyahia décroche la 2ème place, avec 68 sièges. Ces deux partis nationalistes membres de l'Alliance présidentielle sortante détiennent donc la majorité absolue au sein de la nouvelle assemblée.
Le Rassemblement national démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Ouyahia décroche la 2ème place, avec 68 sièges. Ces deux partis nationalistes membres de l'Alliance présidentielle sortante détiennent donc la majorité absolue au sein de la nouvelle assemblée.
Législatives en Algérie: un parti radical brandit la menace d'une révolution
Le Front de la Justice et du Développement en Algérie, a obtenu seulement sept députés sur 462 sièges lors des élections législatives de jeudi. Son responsable Abdallah Djaballah a déclaré ne pas reconnaître ces résultats.
Le président fondateur du parti radical islamiste Front de la Justice et du Développement (FJD) Abdallah Djaballah a dénoncé dimanche le scrutin législatif du 10 mai qui a laminé les islamistes et menacé le pays d'une révolution.
"Nous ne reconnaissons pas ces résultats, a-t-il déclaré dans un entretien téléphonique. Ils "ont fermé la porte du changement à travers les urnes et il ne reste à ceux qui croient au changement que le choix tunisien", a-t-il dit, après le résultat, encore provisoire, de sept députés pour son parti sur 59 pour l'ensemble islamiste sur 462 sièges à la nouvelle assemblée nationale.
Le précédent parlement de 389 sièges comptait 59 députés islamistes de plusieurs partis. Le Conseil constitutionnel doit encore valider les résultats du scrutin. Ce vote "créée une situation d'insécurité et d'instabilité", a affirmé le dirigeant de ce parti, agréé en 2012.
"Nous sommes en pourparlers avec les différents partis qui refusent ces élections pour prendre une position commune", a-t-il affirmé. Plusieurs autres partis ont contesté le résultat, dont les islamistes de l'Alliance de l'Algérie Verte et le Front du Changement (FC), fondé par un dissident du MSP, l'ancien ministre de l'Industrie Abdelmadjid Menasra. "Si ces partis décident de se retirer du parlement, le FJD sera à leur tête", a encore annoncé le militant islamiste âgé de 56 ans. Le Conseil constitutionnel doit encore valider les résultats du scrutin.
Abdallah Djaballah avait auparavant fondé deux partis Al-Islah (Réforme) et Ennahda (Renaissance), dont il a été ensuite expulsé, et qui ont obtenu des sièges dans le nouveau parlement. "Tôt ou tard le choix sera tunisien", a-t-il encore déclaré, en référence à la révolution qui a renversé le 14 janvier 2011 le président Zine el-Abidine Ben Ali et donné le coup d'envoi du Printemps arabe.
Le président fondateur du parti radical islamiste Front de la Justice et du Développement (FJD) Abdallah Djaballah a dénoncé dimanche le scrutin législatif du 10 mai qui a laminé les islamistes et menacé le pays d'une révolution.
"Nous ne reconnaissons pas ces résultats, a-t-il déclaré dans un entretien téléphonique. Ils "ont fermé la porte du changement à travers les urnes et il ne reste à ceux qui croient au changement que le choix tunisien", a-t-il dit, après le résultat, encore provisoire, de sept députés pour son parti sur 59 pour l'ensemble islamiste sur 462 sièges à la nouvelle assemblée nationale.
Le précédent parlement de 389 sièges comptait 59 députés islamistes de plusieurs partis. Le Conseil constitutionnel doit encore valider les résultats du scrutin. Ce vote "créée une situation d'insécurité et d'instabilité", a affirmé le dirigeant de ce parti, agréé en 2012.
"Nous sommes en pourparlers avec les différents partis qui refusent ces élections pour prendre une position commune", a-t-il affirmé. Plusieurs autres partis ont contesté le résultat, dont les islamistes de l'Alliance de l'Algérie Verte et le Front du Changement (FC), fondé par un dissident du MSP, l'ancien ministre de l'Industrie Abdelmadjid Menasra. "Si ces partis décident de se retirer du parlement, le FJD sera à leur tête", a encore annoncé le militant islamiste âgé de 56 ans. Le Conseil constitutionnel doit encore valider les résultats du scrutin.
Abdallah Djaballah avait auparavant fondé deux partis Al-Islah (Réforme) et Ennahda (Renaissance), dont il a été ensuite expulsé, et qui ont obtenu des sièges dans le nouveau parlement. "Tôt ou tard le choix sera tunisien", a-t-il encore déclaré, en référence à la révolution qui a renversé le 14 janvier 2011 le président Zine el-Abidine Ben Ali et donné le coup d'envoi du Printemps arabe.
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