"Manuel Valls démission" écrit à l'encre rouge
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"Manuel Valls démission" écrit à l'encre rouge
10, 50 et même 100 euros. Pour protester contre le ministre de l'Intérieur, le "Collectif des innovations/illuminations politiques" a expérimenté une nouvelle forme de contestation. Pas de manifestation ou de pétition non, mais la mise en circulation de billets de banque avec écrit dessus "Manuel Valls démission" à l'encre rouge. Entre 100 et 300 billets seraient déjà dans le circuit, selon "Matjules", le fondateur de la structure.
Le collectif reproche à Manuel Valls particulièrement deux points de sa politique. D'abord, son traitement du dossier Roms, qu'il juge "stigmatisante". Ensuite, ses méthodes musclées pour évacuer les militants de l'association Droit au logement. Laquelle a porté plainte pour "violences policières" en octobre après une manifestation. "Manuel Valls n'est pas de gauche, on ne veut pas qu'il porte l'étendard du Parti socialiste", vitupère Matjules.
C'est l'Espagne qui a inspiré le collectif: cet été, un mouvement de dégradation de billets a fleuri pour protester contre la situation économique du pays et critiquer le lien entre argent et politique. "Au-delà de Manuel Valls, c'est aussi un pied de nez au système bancaire et à l'ordre mondial", défend Matjules, qui assure que cette forme de contestation est "légale".
Reste à savoir qui se cache derrière ce collectif, non inscrit sous le statut association. Selon son fondateur, il est né en 2012, comporte une quarantaine de membres et vise à "défendre des causes humanitaires sur des thématiques sociales et politiques". Matjules, qui se présente comme auteur et journaliste, concède que son mouvement est proche du PS "sans pour autant appartenir au PS".
Le collectif reproche à Manuel Valls particulièrement deux points de sa politique. D'abord, son traitement du dossier Roms, qu'il juge "stigmatisante". Ensuite, ses méthodes musclées pour évacuer les militants de l'association Droit au logement. Laquelle a porté plainte pour "violences policières" en octobre après une manifestation. "Manuel Valls n'est pas de gauche, on ne veut pas qu'il porte l'étendard du Parti socialiste", vitupère Matjules.
C'est l'Espagne qui a inspiré le collectif: cet été, un mouvement de dégradation de billets a fleuri pour protester contre la situation économique du pays et critiquer le lien entre argent et politique. "Au-delà de Manuel Valls, c'est aussi un pied de nez au système bancaire et à l'ordre mondial", défend Matjules, qui assure que cette forme de contestation est "légale".
Reste à savoir qui se cache derrière ce collectif, non inscrit sous le statut association. Selon son fondateur, il est né en 2012, comporte une quarantaine de membres et vise à "défendre des causes humanitaires sur des thématiques sociales et politiques". Matjules, qui se présente comme auteur et journaliste, concède que son mouvement est proche du PS "sans pour autant appartenir au PS".
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