Nicolas Dupont-Aignan prédit que ni Sarkozy ni Hollande ne seront au second tour
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Nicolas Dupont-Aignan prédit que ni Sarkozy ni Hollande ne seront au second tour
Provoquer un mouvement national qui l'amènera au pouvoir: Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République (DLR), se disait «très confiant» lors de sa cérémonie des vœux à la presse, ce mardi midi à la maison de l’Amérique latine à Paris.
Entouré d’une vingtaine de membres de son parti et de soutiens placés devant un long panneau tricolore, le député de l’Essonne et maire de Yerres a notamment énoncé LE thème de son programme: «La sortie de l’euro, c'est mon combat, il faut que les Français se réveillent et se libèrent des oligarques de Bruxelles», invitant les électeurs à choisir le protectionnisme: «choisir français, c’est refuser ces traités signés qui veulent toujours plus d’Europe.»
Mettre dehors «l’oligarchie des incapables qui nous gouverne»
Ne réfutant pas le terme de «populiste» -«si respecter le peuple cela veut dire être populiste, oui je le suis, mais cela ne veut pas dire flatter le peuple»-, Nicolas Dupont-Aignan récuse toute assimilation de son programme à celui du Front national, même «s’il y a des points communs», comme «la montée de l’insécurité, notamment cachée», le «laxisme de l’éducation», ou encore lorsqu’il fustige «l’oligarchie des incapables qui nous gouverne depuis vingt ans».
Indiquant avoir reçu «plus de 450 promesses écrites de parrainages», il ne manquerait alors plus qu’une cinquantaine de signatures au candidat pour pouvoir se présenter à l’élection de 2012. Un suffrage, qui, à coup sûr selon lui, ne verra ni la présence de Nicolas Sarkozy ou du socialiste François Hollande au second tour de l’élection, car c’est «un faux duel couru d’avance».
Une équipe de campagne «pas touchée par les affaires»
Si les sondages évaluent actuellement Nicolas Dupont-Aignan autour de 0%, Nicolas Dupont-Aignan y croit, glissant à 20 Minutes que «c’est juste un problème de notoriété…qui s’ajustera lorsqu’on bénéficiera d’une égalité de traitement dans les médias».
Ces vœux étaient également l’occasion de présenter son équipe de campagne: «Jeune», «pas usée politiquement ni touchée par les affaires», le groupe rassemble plusieurs jeunes économistes et avocats, mais aussi François Guillaume, ancien président de la FNSEA puis ministre de l’Agriculture (1986-1988) de Jacques Chirac, ou encore Jean-Pierre Gérard, ancien membre du Conseil de la politique monétaire, autre pourfendeur de l’euro.
A la critique de voir en cette équipe de campagne des amateurs de la politique, le porte-parole Jean-Pierre Enjalbert, conseiller général du Val-d’Oise et maire de Saint-Prix répond à 20 Minutes: «On y va avec humilité. Depuis des années, des experts comme Jacques Attali ou Alain Minc se trompent, donc les amateurs de terrain comme nous ont peut-être des choses crédibles à dire.»
Entouré d’une vingtaine de membres de son parti et de soutiens placés devant un long panneau tricolore, le député de l’Essonne et maire de Yerres a notamment énoncé LE thème de son programme: «La sortie de l’euro, c'est mon combat, il faut que les Français se réveillent et se libèrent des oligarques de Bruxelles», invitant les électeurs à choisir le protectionnisme: «choisir français, c’est refuser ces traités signés qui veulent toujours plus d’Europe.»
Mettre dehors «l’oligarchie des incapables qui nous gouverne»
Ne réfutant pas le terme de «populiste» -«si respecter le peuple cela veut dire être populiste, oui je le suis, mais cela ne veut pas dire flatter le peuple»-, Nicolas Dupont-Aignan récuse toute assimilation de son programme à celui du Front national, même «s’il y a des points communs», comme «la montée de l’insécurité, notamment cachée», le «laxisme de l’éducation», ou encore lorsqu’il fustige «l’oligarchie des incapables qui nous gouverne depuis vingt ans».
Indiquant avoir reçu «plus de 450 promesses écrites de parrainages», il ne manquerait alors plus qu’une cinquantaine de signatures au candidat pour pouvoir se présenter à l’élection de 2012. Un suffrage, qui, à coup sûr selon lui, ne verra ni la présence de Nicolas Sarkozy ou du socialiste François Hollande au second tour de l’élection, car c’est «un faux duel couru d’avance».
Une équipe de campagne «pas touchée par les affaires»
Si les sondages évaluent actuellement Nicolas Dupont-Aignan autour de 0%, Nicolas Dupont-Aignan y croit, glissant à 20 Minutes que «c’est juste un problème de notoriété…qui s’ajustera lorsqu’on bénéficiera d’une égalité de traitement dans les médias».
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